Mon chéri Allan et moi sommes très complices, autant au quotidien que dans notre vie sexuelle. Cependant, je suis plus demandeuse que lui et cherche toujours à dépasser mes limites.
J’ai comme l’impression qu’il me manque quelque chose mais je ne sais pas quoi. J’ai déjà pensé à aller voir ailleurs néanmoins je préfère opter pour une autre solution.
Cette dernière allait d’ailleurs arriver plus vite que je le pensais…

Comme la grande majorité des femmes, je suis accro au shopping. J’ai de la chance car Allan m’accompagne toujours dans mes virées shopping.
Nous voilà donc en route direction le centre ville de Lyon. J’ai l’habitude de me rendre dans des magasins bien précis surtout un en particulier car il y a un vendeur très mignon. Bien évidemment, je ne fais que le regarder, rien de plus. Seulement cette fois-ci allait être la fois de trop.

Arrivés sur place, je commençais mon shopping dans mes magasins favoris en prenant bien soin de garder celui du beau gosse pour la fin.
L’après-midi passa rapidement et nous nous retrouvions pas loin de la fermeture des boutiques.

D’un pas pressé, nous nous rendions dans la fameuse boutique. Horreur, il n’était pas là.
A sa place, une pimbêche qui ne prit même pas la peine de nous répondre lorsque nous l’avons salué.
J’étais déçue et n’avais plus envie de regarder quoique ce soit lorsque j’entendis un bruit au fond du magasin.
Le beau gosse sortit de la réserve. D’un coup, le grand soulagement.

L’esprit plus léger je me mis en quête de trouver une petite robe pour notre soirée de samedi.
Au détour d’une des allées, j’entendis sa collègue lui demandait de bien vouloir faire la fermeture du magasin puis elle partit aussitôt.
Nous étions alors plus que nous trois dans la boutique. Lui à la caisse et Allan et moi en train de chercher ma robe.

Je finis par tomber sur un modèle ultra sexy que je m’empressais d’essayer.
Lorsque j’étais dans la cabine, le vendeur nous informa qu’il allait fermer. Pour être tranquille, il avait déjà baissé à moitié le rideau afin que plus personne n’entre.

Ma robe enfilée, je sortis de la cabine et fis quelques pas telle une mannequin. Le vendeur se dirigea vers moi pour savoir si tout allait bien mais je me rendis vite compte qu’il n’avait pas le même regard que d’habitude.
Je buvais ses paroles telle une ado et ce sous les yeux de mon chéri qui à vrai dire n’en faisait pas vraiment cas. D’ailleurs, il se leva de son fauteuil afin de refaire un tour dans le magasin.
J’en profitai bien évidemment pour faire plus amples connaissances avec le vendeur qui s’appelait Laurent. Tout cela en tout bien tout honneur.

Je sentais son regard insistant sur mon décolleté pendant que je lui parlais et pour être honnête, cela me plaisait énormément.
Nous étions dans le fond de la boutique et Allan vers l’entrée donc il ne pouvait ni voir ni entendre ce qui se passait.

C’est alors que Laurent en profita pour m’embrasser furtivement. Il avait des lèvres très douces.
J’étais un peu choquée par ce qu’il venait de faire mais n’avais qu’une envie c’est qu’il recommence.
Cette fois-ci c’est moi qui me jetai sur lui pour goûter à nouveau à sa bouche.

Le problème est qu’à cet instant Allan était revenu et nous avait surpris en train de nous embrasser.
Laurent se recula, idem pour moi et là Allan eut une réaction des plus surprenantes. Il me lança :

« Je sais que tu recherches de nouvelles sensations, alors vas-y et fais toi baiser par ce mec ! »

J’étais à la fois abasourdie par sa réponse mais putain d’excitée à l’idée de me faire prendre par Laurent. Et puis, je ne trompais pas mon chéri puisqu’il était présent et avait donné son feu vert…
Laurent était un peu perdu face à cette situation mais reprit rapidement ses esprits et m’embrassa à nouveau.

En même temps, je caressais délicatement sa queue sur son pantalon. Je pouvais sentir qu’elle durcissait de plus en plus à chaque passage de ma main.

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Je n’en pouvais plus et avais envie de la prendre en bouche. Je n’attendis pas une minute de plus, m’agenouillai et entrepris une pipe d’enfer. Tout y passait, ses couilles, sa verge et son gland sur lequel je prenais soin de bien donner des petits coups de langue.
Mon string était tout trempé tant je mouillais face à cette situation particulière certes mais très excitante.
Allan était là assis tranquillement dans son fauteuil en train de nous mater comme s’il était devant un porno.

Laurent me releva et me dirigea vers la cabine. J’étais dos à lui les mains appuyées au miroir. Il leva ma robe, car oui je portais encore la robe du magasin, et passa sa bite toute dure le long de mes fesses.
Je sentais que j’allais pas tarder à y passer et c’est ce qu’il fit l’instant d’après en introduisant sa queue dans ma chatte.
Ma surprise laissa vite place au plaisir qu’il me procurait en me donnant de bons coups de reins. Il me secouait pas mal mais c’était très bon. J’étais entre la douleur et l’excitation.
Je voyais dans le miroir Allan qui n’en loupait pas une miette. Jamais je n’aurais pensé qu’il puisse accepter de tester le candaulisme.

Laurent se lassa rapidement de ma chatte et s’attaqua sans attendre à mon anus.

J’étais un peu craintive car je n’avais jamais tenté la sodomie.
Il tâta le terrain en enfonçant un doigt sur lequel il avait préalablement craché puis deux. La sensation était bizarre mais pas douloureuse.

Pensant avoir assez préparé mon anus, il m’encula direct. Je poussai un cri de douleur auquel il ne fit pas attention puisqu’il entamait des va et vient qui au fur et à mesure me firent oublier qu’il était en train de dilater mon fion.
Pendant qu’il me sodomisait, il tenait mes seins dans ses mains et les compressait au rythme de ses coups de bite dans mon cul.

Je suis de nature à tenir un bon moment avant de jouir mais là, j’eus un orgasme anal tellement fort que tout mon corps se crispa.
Laurent profita de cette délivrance pour m’offrir tout son foutre au fond de mon conduit anal.
Il se retira et je sentis alors son sperme coulait le long de ma jambe.

Je m’essuyai et me rhabillai avec mes vêtements. Il régnait un silence d’or dans le magasin. Je me dirigeai vers la caisse où attendait Laurent, réglai ma robe et repartis avec Allan.

Le soir il m’avoua qu’il avait prit beaucoup de plaisir à me voir me faire baiser par un autre homme.
Je le remerciai de m’avoir permis de découvrir le candaulisme.

Depuis, il nous arrive de retenter l’expérience avec des hommes trouvés sur des sites spécialisés.

 

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