Comme chaque année, vient la soirée du personnel afin de fêter Noël tous ensemble.
L’entreprise dans laquelle je bosse compte une centaine d’employés avec une quasi parité hommes/femmes.
J’ai l’habitude d’y aller à chaque fois. C’est un moment agréable où l’on peut tranquillement discuter avec ses collègues mais surtout relâcher toute la pression accumulée tout au long de l’année.
Et puis on ne va pas se mentir, il y a de la bonne bouffe et de l’alcool à gogo…

J’y vais tout le temps accompagné de ma femme Lucie qui à vrai dire n’est pas très motivée de passer sa soirée avec les collègues de son mari.
Cette année contrairement aux autres, elle a pris beaucoup plaisir à s’y rendre même si au départ c’était mal parti.

En effet, juste avant nous nous étions pris la tête pour une stupide histoire de tenue que je trouvais un peu trop sexy. Même si cela peut paraître macho, je n’avais pas envie que mes collègues matent ma femme comme des loups en rut.
Bon, c’est sûr il y a de quoi. Lucie a des courbes au top avec une poitrine ferme et généreuse et un cul bien bombé. Un mix parfait à en faire bander plus d’un!
Au final, c’est elle qui a gagné et est partie avec sa robe longue noir fendue jusqu’à mis cuisse avec en prime des talons aiguilles de 12 cm mais surtout un décolleté assez profond.

Arrivés sur place, nous commencions tranquillement à prendre un premier verre et a discuté avec différentes personnes.
Le temps passait et tout se déroulait pour le mieux malgré le fait que Lucie ne m’adressait pas trop la parole. Ah les femmes et leur caractère…
Au bout de deux heures, nous nous retrouvions à bavarder avec mon patron Marc. Un bel homme de 45 ans, fraîchement divorcé.

Je voyais qu’il avait du mal à regarder ma femme dans les yeux mais plutôt dans les seins.
Le courant passait très bien avec Lucie qui rigolait à chaque fois qu’il ouvrait la bouche et comme on dit femme qui rit… Je ne croyais pas si bien dire.
Voyant que j’étais un peu inutile dans leur conversation, je tournai les talons et allai parler avec mes collègues sans pour autant lâcher des yeux Lucie.

Quelques instants après, je la vis s’éclipser discrètement avec Marc direction le bureau de celui-ci.
Je doutais fort qu’ils allaient parler boulot donc je décidai de les suivre. Ils entrèrent dans la pièce mais ne fermèrent pas entièrement la porte.

J’avais donc pleine vue sur ce qu’il se passait. Ma salope de femme, sur le moment je n’avais pas d’autre mot qui me venait à l’esprit, était en train de baisser le pantalon et le caleçon de Marc.

Elle commençait alors en prendre dans sa main la bite de mon boss avant de l’engloutir au fond de sa bouche.

Je pouvais entrevoir tous les va et vient qu’elle faisait y compris les coups de langue qu’elle passait sur son gland. Une chose est sûre c’est que le mec était bien gâté par dame nature.

Je ne pu me retenir d’entrer tant la jalousie qui s’emparait de moi était insoutenable.
Je poussai la porte violemment et entrai donc dans le bureau.
L’atmosphère était très bizarre, pesante, tendue. Je pris immédiatement Lucie par le bras pour la sortir de là mais celle-ci me stoppa net et me balança « Ce n’est pas de ma faute si la queue de ton boss me donne plus envie que la tienne ».

Sur le moment, je restai bouche bée sans savoir quoi répondre jusqu’à ce qu’une idée me traversa l’esprit. Je lui répondis alors « Puisqu’elle a l’air si bonne, on va voir si elle saura te donner autant de plaisir que ma queue ».

Marc était encore le pantalon aux chevilles et la bite raide. Je m’installai alors tranquillement sur un fauteuil pour les regarder faire. Nous allions tester pour la première fois le candaulisme…
Lucie se remit en position et enfonça l’engin de Marc telle une affamée. Je pouvais voir à travers son regard l’excitation que cela lui procurait. Quelle chienne !

Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle s’appliquait énormément.

Elle prenait bien le temps de lécher goulûment sa queue, gober ses boules sans oublier les petits coups de langue sur son gland.

Elle ne m’a jamais fait une telle pipe depuis que nous sommes ensemble.

Je voyais un Marc tellement excité qu’il la releva brusquement, la retourna et lui leva sa jolie robe.
Qu’allait-il faire ? Ni Lucie ni moi-même ne le savions. Elle était là appuyée au bureau le cul à l’air.
C’est alors qu’il lui murmura à l’oreille ( ma femme me l’a répété par la suite) « Voilà ce que je fais aux petites putes comme toi ! » Au moins le ton était donné !

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Il prit sa bite puis la pénétra si fort que Lucie fit un sursaut de surprise.
Je ne loupais aucune miette de ce qui se passait sous mes yeux et pour être honnête je n’étais pas déçu.
Marc enchaînait des va et vient bien vigoureux auxquels ma femme était très réceptive vu les cris qu’elle lâchait.

Seulement au bout d’un moment, le vagin de Lucie ne lui suffisait plus et il décida de s’attaquer à son petit trou. Pour le préparer, il y glissa un doigt préalablement mouillé puis sans aucun ménagement y enfonça sa bonne grosse queue.
J’avais déjà tenté la sodomie avec ma femme mais elle n’avait pas plus aimé que ça. A croire que je devais mal m’y prendre car quelques minutes après lui avoir défoncé l’anus, elle eut un orgasme anal tellement fort et intense que je manquai de jouir moi-même dans mon caleçon.
Marc lui avait une endurance de malade car il avait pas encore pris son pied.

En guise de remerciement, Lucie s’agenouilla à nouveau et pris en bouche sa verge. Il prit la tête de ma femme entre ses mains et la poussa de manière à ce qu’elle gobe carrément sa queue.

Marc se branlait quasiment avec la bouche de Lucie.

Il ne mit pas longtemps à exploser et à ainsi offrir tout son foutre au fond de la gorge de ma femme. Elle eut un haut le cœur puis finit par tout avaler. Quelle cochonne !

Les deux se rhabillèrent aussitôt. Sans un mot, nous retournions les trois dans la salle de réception comme si de rien n’était.
Lucie m’embrassa tendrement en me suggérant de la baiser comme cela la prochaine fois.

 

Crédit photo : indexxx.com, twitter.com