Depuis que ma femme Tania et moi sommes ensemble, il n’y a jamais eu un seul écart de conduite, du moins à ma connaissance. Nous nous aimons depuis de nombreuses années et avons eu deux beaux enfants.
Il est vrai que la routine s’est un peu installée ces derniers temps, mais bon je pense que mal de couples vivent cela.
Pour ma part, rien a changé mais je vois que de son côté, il n’en est pas de même.

Cela fait deux ou trois mois que j’ai constaté un certain changement dans son attitude mais aussi au niveau de son physique. Elle prend plus soin d’elle, se rend plus souvent chez l’esthéticienne et achète davantage de vêtements assez sexy.
De plus, elle qui d’habitude est pas mal portée sur le cul, je vois qu’elle a moins envie de faire l’amour.

Un jour, alors que Tania était à la douche, j’ai fouillé dans son portable et suis tombé sur des SMS entre elle et son collègue de bureau.
Les messages étaient relativement explicites et les photos qui les accompagnaient ne laissaient planer aucun doute. Elle me trompait avec son collègue Charles.

J’étais mal mais surtout vexé de voir qu’elle acceptait que lui la sodomise ou bien lui gicle au visage alors que moi je n’ai jamais pu réaliser une seule de ces choses.
Après que ces sentiments soient passés, ils ont laissé place à de l’excitation.

Oui, j’étais excité d’imaginer ma femme se faisant troncher par une autre bite que la mienne !

Les semaines passèrent sans que Tania ne me parle de quoique ce soit. J’étais en quelque sorte spectateur de son petit manège mais je ne comptais pas en rester là…
Un jour, j’eus l’idée d’inviter Charles à venir manger à la maison. Tania fut surprise car en général, je ne porte pas vraiment d’intérêt à ses collègues.

Ce dernier arriva. La coquine s’était bien apprêtée pour l’occasion.
Durant le repas, je faisais exprès de caresser Tania sous la table afin de faire monter en elle l’excitation.
Au moment de débarrasser la table, nous nous sommes retrouvés tous les deux seuls dans la cuisine. Je l’ai embrassé fougueusement et j’ai alors senti que sa petite culotte était trempée.

Je me suis amusé à la doigter pour la rendre encore plus folle. Sa tête plongée dans mon cou, je lui murmurai à l’oreille que j’étais au courant pour Charles et elle.
Elle souhaita s’expliquer mais je n’avais pas envie d’entendre ses excuses ou autres.

Je l’ai pris par la main, direction le salon, et je l’ai offerte à son collègue.
« Maintenant que je sais tout, je veux voir s’il te baise mieux que moi sale chienne ! »

Ils se sont immédiatement embrassés et caressés. Du temps qu’il lui léchait les seins, elle le branlait vivement histoire de bien le mettre en condition.
J’étais comme absorbé par cette scène de candaulisme. Ma femme allait se faire baiser sous mes yeux et ce par un autre homme que moi.

La séance de branlette finie, elle se baissa et pompa son dar.

Mon regard croisa à plusieurs reprises celui de Charles qui prenait bien du plaisir à se faire sucer.

Tania se releva pour enlever ses vêtements et vint directement s’empaler sur la queue de son amant.
Elle était face à moi en train de chevaucher la bite de son cher et tendre collègue. Je voyais que cela l’excitait à fond.

Elle resta comme cela durant un moment puis ils changèrent plusieurs fois de positions.
Tania était comme possédée par cette baise. Je ne l’avais jamais vu de la sorte.

Charles donnait tout ce qu’il avait à tel point que ma femme était secouée assez sauvagement à cause de la puissance de ses coups de bite.
Ces derniers ont eu raison d’elle puisqu’ils l’ont conduite à un orgasme pour le moins bruyant.

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Son amant, lui, n’avait pas débandé. Je proposai donc qu’il se mette face à elle et qu’elle le suce pendant que moi je l’encule.
Tous les trois prenions place et la voilà en train de lécher, gober la pine de Charles.
Moi, la queue bien dure et prête à lui donner son compte, j’écartai bien ses fesses tout en salivant sur son trou puis la sodomisai direct.

Mon engin entra avec beaucoup de facilité comme quoi, il devait souvent lui ramoner son fion.
C’était la première fois que j’enculai Tania et cela eut raison de moi puisque je déchargeai tout mon foutre dans son cul assez rapidement.
Au même instant, Charles giclait au fond de sa gorge. La salope avait eu son compte et moi en quelque sorte ma revanche.

Son amant parti, nous avons discuté de cette aprem mais aussi de son adultère. Elle m’avoua alors que cela durait depuis plus de six mois mais qu’elle ne comptait pas arrêter.

J’acceptai sa décision mais à une seule condition… que l’on retente le candaulisme quand moi j’en avais envie !

 

Crédit photo : the-intimacy-coach.com, wallsexy.net