Un bon routier pour ma femme

Ça y est nous y sommes enfin…nos vacances tant attendues pointent le bout de leur nez!
Cela fait un mois que nous comptons les jours qui nous rapprochent un peu plus de ce moment tant espéré.
Il faut dire que cette année n’a pas été top avec le boulot, notre fils qui a quitté le nid, bref il était temps de penser à nous et de prendre un peu de bon temps.

Mon épouse Claude est une femme tout à fait délicieuse qui se bonifie chaque année comme un bon vin. Elle a 46 ans et des formes toujours aussi belles avec une poitrine encore bien ferme et des fesses exquises.
Me concernant, on ne peut pas vraiment dire la même chose avec mon petit ventre qui a fait son apparition. Mais c’est surtout au niveau sexe que cela se fait ressentir. Claude est toujours autant fraîche et en forme pour baiser et moi je commence à avoir du mal à bander. Enfin, passons à autre chose de plus gai.

Le jour J arriva et nous voilà en route direction le Sud de la France. Dans la voiture, l’ambiance est bonne, nous parlons de tout et de rien.
Roulant de nuit et ayant 8 heures de route, nous ne voulons pas nous précipiter et faisons régulièrement une halte.
Nous sommes à moitié trajet et nous arrêtons sur une aire de repos afin de nous dégourdir un peu les jambes.

Il n’y a pas grand monde sur cette aire et prenons place non loin des routiers. Claude et moi descendons histoire de marcher un peu et de grignoter un morceau.
Nous ne voulons pas trop attarder car on ne sait jamais sur qui l’on peut tomber sur ces aires et puis plus nous traînons, plus nous prenons du retard.

Nous nous dirigeons vers notre voiture lorsqu’un type nous interpelle. Jean, tee-shirt et baskets, un mec commun quoi.
Une fois devant nous, je vis sur son tee-shirt un logo et devinais alors qu’il était routier. Honnêtement, c’était quand même un beau mec d’environ 35 ans.
Il nous demanda une cigarette mais ni Claude ni moi fumons. Il nous remercia quand même et adressa un clin d’oeil à ma femme. Elle sourit gentiment puis lui proposa des petits gâteaux.

Qu’est-ce qui lui prenait? Elle qui est habituellement craintive des inconnus et encore plus dans un endroit quasi désert…

Il accepta et nous entamions une discussion à travers laquelle il nous raconta qu’il venait de se séparer de sa copine.
David la complimentait et ne me calculait presque pas.

Je connais parfaitement ma femme et je sais voir quand elle se sent émoustillée et là je peux certifier qu’elle l’était complètement. J’étais content de la voir comme cela mais j’aurais préféré que ce soit pour moi qu’elle soit dans cet état.

Je commençais un peu à m’impatienter car je voyais l’heure qui défilait et nous toujours sur cette aire.

Les regards se faisaient de plus en plus complices et coquins entre David et Claude.

Dans un élan de confiance, David me balança que ma femme était très désirable et lui faisait vraiment envie.

Claude me regarda et me fit comprendre qu’elle souhaitait sauter le pas. Il est vrai que je ne satisfait pas grandement ma femme ses derniers temps mais de là à la laisser baiser avec un autre homme…

J’eus un instant d’hésitation et ne pus lui refuser. Je suis peu être bête mais le plaisir de mon épouse passe avant tout. J’émis quand même une condition, assister à leur ébat. Qui sait, peut-être que le candaulisme allait me réveiller popole. Les deux acceptèrent.

David s’avança, prit Claude par la taille et l’embrassa fougueusement. J’arrivais à voir leurs langues se mélangeaient.

Tout en l’embrassant, il avait glisser sa main sous la jupe de ma femme afin de commencer à explorer son intimité.
Puis, il se baissa et releva sa jupe. Ni une ni deux, il ôta sa petite culotte et plongea sa tête entre ses cuisses.

À chacun des coups de langue de David, Claude gémissait. J’entendais même sa respiration s’accélérer au fur et à mesure. Il devait sacrément bien manier le cunnilingus !

La bouche humide de la mouille de ma femme, il l’embrassa à nouveau avant de la retourner. Elle était là debout, appuyée à notre voiture, les fesses à l’air.

Il mit une capote puis écarta délicatement son cul sur lequel il passa sa queue bien tendue et rentra direct dans sa chatte.
Claude fit un léger sursaut puis se laissa aller sous les coups de reins avec lesquels il la pilonnait.
Fait étrange, je sentis au même instant ma bite se dressait fièrement dans mon caleçon alors qu’habituellement j’ai du mal.

Tout en baisant ma femme, il tenait fermement ses seins entre les mains. Claude avait l’air de fortement apprécier de se faire prendre de la sorte et lâchait par ci par là des petits cris.

À un moment il y allait tellement fort que j’ai cru qu’il allait lui éclater sa chatte.

Celle-ci ne devant plus suffire, il écarta à nouveau son fessier mais cette fois pour l’enculer. Nous n’avons jamais tenté la sodomie.
Il prit soin de cracher sur son fion afin de l’humidifier et de faciliter la pénétration.

Il y alla doucement puis voyant que l’anus de Claude était plutôt malléable, il accéléra le rythme et la puissance de ses coups.
Ma femme criait à la fois de douleur et de plaisir et ne semblait pas vouloir que cela s’arrête.

Sur le coup de l’émotion, elle ne mit pas longtemps à jouir de cette sodomie avec un puissant orgasme anal. David explosa une fraction de secondes après.

Claude était lessivée de cette baise et première sodomie. Elle remercia David pour cette parenthèse et moi par la même occasion de lui avoir permis de vivre cette expérience.

Nous sommes chacun remontés dans notre véhicule et avons repris la route. Ma femme était tellement crevée qu’elle a dormi tout le restant du voyage.

Après réflexion, je peux dire que le candaulisme est une pratique libertine à tester de toute urgence si vous êtes en manque de libido.
Pour ma part, ma queue bande à nouveau comme à ses 20 ans.

Crédit photo : pressroomvip.com, veu.xxx