Je me présente brièvement Léa, parisienne. Je suis une belle femme blanche de 35 ans du haut de mes 1,70 m. Je ne suis ni mince ni grosse. J’ai, comme on me le dit souvent, les rondeurs là où il faut et comme il faut. Des fesses belles, rebondies et biens fermes suites à mes nombreuses années à la salle de sport.

Je suis devenue libertine il y a 5 ans suite à une aventure avec un homme qui m’a fait découvrir le milieu. Il était plus âgé que moi et il fréquentait régulièrement les clubs libertins. Dans notre couple, on avait l’habitude de sortir à deux mais depuis notre séparation, je suis comme une lionne solitaire. Célibataire, je préfère le rester et cela me convient très bien. Je me sens plus libre, libérée et toujours partante pour m’amuser les week-ends.

D’ailleurs mon petit rituel du samedi soir c’est de me rendre à l’un des nombreux clubs libertins de la capitale. J’ai mes adresses préférées mais il m’arrive de découvrir de nouveaux établissements. Et ce soir-là, c’était justement le grand soir…

Les clubs libertins proposent des soirées BDSM

Le thème de la soirée était le BDSM. Un univers qui me fascine et qui me fait peur à la fois. J’ai toujours eu un petit côté soumise mais je n’ai jamais considéré la fessée comme un vrai acte de soumission. Pourtant, j’ai toujours été excitée à l’idée d’être sous le contrôle d’un Maitre Dominateur expérimenté qui saura bien s’occuper de moi.

Je me suis donc habillée sexy comme à mon habitude et je me suis rendue sur les lieux. J’ai pris soin de prendre un masque de lapine pour me sentir plus en confiance et moins timide. Après tout, même si j’étais déjà une initiée du libertinage, le BDSM était totalement nouveau pour moi.

Arrivée sur les lieux, l’atmosphère était complètement différente de ce que je connaissais. Il y avait des hommes habillés de cuir, de latex qui de par leur apparence montraient une certaine forme de sadisme, de fétichisme et d’autorité. Des hommes presque nus avec une cagoule sur le visage, des dominatrices avec des bottines jusqu’aux genoux et des femmes tenues en laisse par un collier. C’est ces dernières qui m’ont tout de suite intrigué. Comment devenir l’une d’elle ? Comment offrir le contrôle à un homme ? Que devais-je faire ?

Ma rencontre avec mon premier dominateur BDSM

Au bout de quelques minutes, un bel homme musclé et d’une taille olympique s’est approché de moi. Il était à mon goût, mais il me semblait un peu plus vieux que le genre que je fréquentais souvent. Il devait avoir plus de 45 ans. On s’entait une certaine sagesse et une forme d’expérience que ce soit dans sa posture que dans son élocution. Il m’a tout de suite mise à l’aise. Nous avons échangé sur mes fantasme BDSM, mon expérience dans ce milieu et mon envie de découvrir ces pratiques.

Il m’a proposé d’essayer avec lui dans une pièce privée du club où il m’a accompagné par la main. Je mouillais déjà à l’idée de devenir sa chose le temps d’un moment, de lui obéir, de me faire humilier, punir… et récompenser ! Il m’a expliqué que le BDSM est un ensemble de pratiques sexuelles variées qui mélangent à la fois la soumission, la domination, le bondage, la punition, le sadomaso et la discipline. Que la consensualité est importante et que je devais savoir dire « stop » quand je trouvais ça trop. Nous avons convenu d’un safeword et nous avons commencé.

Les pratiques BDSM que j’ai testé

Il m’a ordonné de me mettre à genoux devant lui. Je me suis exécutée. Il se tenait devant moi, me fixait les yeux avec son regard autoritaire. Déjà à ce moment-là, j’étais comme hypnotisée. La scène a duré 2 bonnes minutes et je m’imaginais déjà la suite dans tête. Il m’a bandé les yeux. Je ne pouvais qu’entendre le son de sa voix, sentir le vent de ses gestes et son toucher sur ma peau. Il m’a mise à quatre pattes et la séance de fessées a commencé. Je devais compter chaque coup à haut voix jusqu’à 10.

Au début, les coups étaient légers, on sentait qu’il échauffait sa frappe mais il a commencé par aller de plus en fort. Au bout du huitième coup j’en pouvais déjà plus… Je sentais mes fesses rougir et j’étais prête à tout arrêté. Il l’a senti… Il m’a demandé à ce moment-là de me surpasser et que j’allais avoir une belle récompense ensuite. Il m’a fessé une neuvième et j’ai crié « Aie ! Stop Maitre ! ». Il rigola sadiquement car « stop » n’était pas notre mot de sécurité (safeword)… Ensuite le dixième coup parti et j’hurla de douleur. Il me félicitât de vive voix et c’est à ce moment-là que je senti sa main glisser entre mes cuisses.

J’étais toute mouillée comme jamais… Il me caressa puis enfonça un doigt, puis deux et de plus en plus vite et de plus en plus fort… Après seulement quelques minutes, j’eus le plus bel orgasme de ma vie ! Je n’en revenais pas… La soumission m’avait mise en transe et moi qui était plutôt clitoridienne, timide, je pris mon plaisir comme jamais. Il m’embrassa et me raccompagna jusqu’à la sortie de la pièce. Je suis restée au moins 20 minutes au bar du club libertin, sans dire un mot, je reprenais mes esprits…

Depuis ce jour-là, je fais régulièrement des soirées BDSM et j’ai beaucoup progressé dans cet univers. Ma tolérance à la douleur, aux punitions et aux humiliations est beaucoup plus forte. J’ai déjà testé de nombreux accessoires comme les menottes, le martinet, la cravache, le paddle et je me passionne désormais pour le bondage. Cette première découverte m’a transformé et je plus soumise que jamais…

Si ce récit de soumission vous a plus, il existe de nombreuses histoires BDSM à découvrir sur ce site.