Ça y est, j’y suis enfin… La fin de ma dernière année de commerce est bientôt finie. Il ne me manque plus qu’à faire un stage en entreprise afin de la valider et le tour est joué.
Je me mets alors en quête de trouver une boîte susceptible de m’embaucher le temps d’un mois.
J’écume un peu toutes celles qui se situent non loin de chez moi, quitte à faire, mais sans grande conviction car cela serait beaucoup trop cool.

Quelques jours plus tard, je reçois un coup de fil de l’une d’entre elles. J’ai rendez-vous l’après-midi même avec le boss. À peine le temps de me préparer, manger un morceau qu’il est déjà l’heure de partir.
J’arrive sur les lieux. Le cadre paraît sympa tout comme le personnel que j’ai l’occasion de croiser.
Mon entretien se passe à merveille. Mon stage débute à mon plus grand bonheur dans une semaine.

Le jour J arrive à grande vitesse. On me présente un peu à tout le monde avant de me montrer mon espace de travail. Ce dernier est assez sommaire mais à vrai dire je ne m’attendais pas à plus. Après tout, je ne suis qu’une simple stagiaire et qui plus est pour un mois.

Les jours passent et peu à peu je prends mes marques.
Comme je l’avais ressenti, les collègues sont tous très sympas mais s’il y a bien quelqu’un qui attire mon attention c’est Thibault, l’homme d’entretien.

Brun, le regard noir, assez bien bâti et une démarche plutôt de caïd. Il dégage un truc très fort qui pour être honnête me fait littéralement fondre.

Nous nous sommes croisés dans les couloirs à plusieurs reprises mais je n’ai jamais osé lui adresser la parole.

L’autre soir, j’étais une des dernières à quitter l’entreprise. Et oui, si l’on veut faire bonne impression, il faut savoir donner de soi…
Je me dirige vers l’ascenseur lorsque je sens une présence derrière moi. C’était Thibault qui tout comme moi attendait l’ascenseur.

Comme les autres fois, je n’ose lui parler tant sa présence me paralyse. Il a l’air de descendre tout comme moi au parking dédié au personnel.
La porte de l’ascenseur s’ouvre, il me laisse passer devant. Il emboîte le pas juste derrière moi. Au bout de quelques mètres, il m’interpelle. Je ne sais quoi faire si ce n’est me retourner.

Comme une idiote, j’avais fait tomber un dossier sans même m’en rendre compte. C’est pour dire à quel point Thibault me trouble.
Je le remercie du bout des lèvres puis reprends le chemin vers ma voiture.
J’entends qu’il est encore derrière moi. Je jette un rapide coup d’œil à mes affaires. Cette fois-ci, tout à l’air d’être en ma possession. Que veut-il à la fin ? S’il faut c’est un grand malade….

J’arrive à ma voiture. Il est tout près de moi à tel point que je sens une légère bosse au niveau de mes fesses.

De l’air chaud parcourt mon cou tout comme ses lèvres. J’en frissonne….

Je suis figée sur place et du coup me laisse faire. Thibault me retourne et m’embrasse à pleine bouche.

Oh p…. que c’est bon ! Mais que va-t-il se passer ? A-t-il seulement envie de m’embrasser ou de passer à l’étape supérieure ?
Ses mains commencent à parcourir tout mon corps avant de s’arrêter au niveau de mon intimité.

Je suis plaquée contre ma voiture avec un total inconnu qui caresse ma chatte. Je ne pensais pas que mon stage prendrait cette tournure.
Un doigt, puis deux entrent dans ma chatte. Je sens que je mouille telle une novice en la matière. Je me blottis contre lui sous l’effet de ce doigtage si excitant.

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Je sens sa bite durcir au fil des minutes. Je veux la voir, la goûter…
À genou, je baisse son pantalon et son caleçon afin de voir sa queue de plus près. Elle est bien grosse, dure prête à se faire pomper comme il faut.

Je commence alors à le sucer en prenant soin de bien m’appliquer. Ses mains sur ma tête je le pompe telle une sauvage en manque de sexe. Je parviens même à lui faire une belle gorge profonde.

Je suis excitée comme une folle. J’ai envie qu’il me baise comme une vulgaire salope.

Il me relève tout comme ma jupe puis enfonce son engin dans ma chatte.
Thibault n’y va pas par quatre chemins et m’inflige des coups de reins assez violents. À vrai dire, je ne suis pas étonnée qu’il me baise de la sorte. Cela va totalement avec son allure. Qu’est-ce que c’est bon de se faire bourriner de la sorte !

Je prends un pied monstre et ne peux m’empêcher de gémir de plaisir.
Thibault me retourne et décide de s’occuper de mon petit cul. J’appréhende un peu cette sodomie car vu la puissance de ses coups de bite, il va littéralement exploser mon anus !

Tant pis, je veux qu’il me sodomise comme il en a envie. Il prend quand même soin d’y mettre un doigt avant afin de le préparer à recevoir sa grosse queue.
Deux trois allers et retours et le voilà à l’entrée de ma rondelle. Par chance, sa bite est bien humide et comme par magie entre facilement.

Au début, il y va soft puis voyant que je suis à l’aise avec la sodomie, accélère le rythme afin de m’enculer comme une vulgaire pute.

J’ai l’impression que toute mon intimité va se déchirer tant il me secoue dans tous les sens.

Au final, je finis par jouir intensément. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir. Il faut dire aussi que je n’avais jamais été baisée de cette façon.
Pour le remercier, je l’ai à nouveau sucer afin de goûter à sa semence. Il ne lui a d’ailleurs pas fallu longtemps avant de décharger tout son foutre au fond de ma gorge.

Durant toute la durée de mon stage, nous avons baisé dans plusieurs endroits de la société et ce pour mon plus grand plaisir…

 

Crédit photo : dorcelclub.com, aco.fr