Je n’aurai jamais pensé qu’il était possible de ressentir un tel plaisir. Je sais que de mes 20 ans je n’ai pas encore assez d’expérience sexuellement parlant, mais ma première expérience BDSM fut très intense et excitante. Voici ma première expérience BDSM avec un dominateur bourré d’expériences que j’ai rencontré sur le site bdsmattitude.com. Je ne risquerai pas de l’oublier.

Ma première rencontre avec mon maître dominateur

Voilà comment tout a commencé. En janvier dernier, je me suis inscrite sur le site pour ajouter du piquant dans ma vie sexuelle, parce que je m’ennuyais trop. Rapidement, j’ai eu un grand succès que je n’arrivais pas à croire. Beaucoup de jeunes et de vieux maîtres ont répond à mon invitation. Mais comme j’étais à la recherche du meilleur partenaire, j’ai choisi le plus expérimenté de tous. On s’est mis d’accord pour nous rencontrer dans un bar. Je ne peux pas vous dire l’endroit exact. De plus, ce n’est qu’un petit détail sans importance.

Après avoir échangé quelques semaines sur le site, Ben et moi avions enfin décidé de nous rencontrer pour la première fois. C’était un homme assez mature de 40 ans. Il avait donc 20 de plus que moi. Mais il a réussi à mouiller ma petite culotte dès notre première rencontre. Ça m’avait beaucoup intrigué, donc je n’ai pas hésité une seule seconde à m’offrir à lui. D’autant plus que c’est ce qui a été convenu au cours de notre dernière discussion. Je ne sais pas si c’est relatif à son âge ou à son expérience, mais une chose en moi me poussait sans cesse à lui obéir, comme une bonne soumise.

L’excitation et l’impatience montent à fond

Après quelques heures, il faisait déjà nuit, il m’a enfin demandé de passer à l’action. Et pour que chacun se sente à l’aise, nous avons décidé de nous rendre à l’hôtel le plus près. Il portait déjà un petit sac à dos. Je pensais qu’il contenait tout le matériel et l’accessoire complet pour pratiquer un BDSM digne des grands acteurs de films érotiques. Et vous savez quoi ? J’avais raison.

Comme il m’a réellement séduit, j’avais envie de lui poser des questions au cours de notre trajet jusqu’à l’hôtel. Mais il ne m’a pas laissé faire. Il m’a dit que si je voulais vraiment être sa soumise le temps d’un soir, il faut que je sois motivée et que je le prouve avec mes actes. J’ai obéi. J’étais surprise par moi-même, parce qu’un tel comportement ne me ressemblait pas du tout. Avec Ben, je sentais que tout va comme le mieux et que j’étais faite pour être dominée. J’admirais tout le plaisir que cela m’apportait.

Une soumise obéissante à son maître

Nous étions enfin arrivés à l’hôtel. J’étais prête à me plonger dans ce bel et séduisant inconnu et dans un univers qui m’excitait et me perturbait à la fois. Auparavant, j’ai déjà beaucoup entendu parler du BDSM. Mais jamais de ma vie, je n’avais touché ni observé des accessoires SM. Une fois dans la chambre, il m’a tout de suite poussé sur le lit. Puis il me disait que je devais respecter les règles qui sont : de lui obéir, le vouvoyer et ne jamais dire non.

Ses premiers ordres étaient : « Déshabille-toi ». Moi, la jeune soumise, j’ai obéi immédiatement même si ça m’a semblé un peu étrange. Je lui ai répondu « Je suis prête à vous obéir, Maître ». Il a bandé mes yeux, a mis une corde sur ma poitrine autour de mes seins et a serré mon dos. Ensuite, il a mis un collier sur mon cou et a pincé mes tétons. Je criais parce que j’avais mal. Mais il n’était pas prêt à s’arrêter et m’a donné le premier coup de cravache. Toutefois, il m’était impossible de ne pas crier, parce que j’avais trop envie de gémir. Par la suite, il m’a demandé de me mettre à quatre pattes et a pratiqué le fist avec ma petite chatte. Je me sentais ainsi entièrement soumise. La virilité, la dominance et la puissance de Ben m’avaient mouillé. Il faisait de mois une petite chienne qui lui appartenait et j’aimais ça.

Un plaisir intense difficile à oublier

Je n’avais qu’un seul rêve à cet instant précis, sa jolie queue. Il m’a attaché sur le lit avec les mains menottées et a pris un vibromasseur pour me torturer davantage en s’attardant sur mon clitoris. Et lorsque j’approchais de l’orgasme, il n’hésitait pas à le retirer. J’étais prisonnière de sa stimulation sexuelle. J’étais son objet sexuel.

Bref, ma première expérience en tant que soumise était très intense. Jusqu’à aujourd’hui, j’ai du mal à croire que le temps d’une soirée, j’étais réellement ce genre de fille qui a pris du plaisir avec la soumission mais aussi la pratique du bondage . Moi qui d’habitude n’aime pas qu’on me donne des ordres et qui ne fais qu’à ma tête. J’avais perdu tout le contrôle. Je fus sodomisée, giflée… mais surtout baisée par un grand maître. Le BDSM n’était plus un secret ni un fantasme pour moi.