Suite à une engueulade avec mon père, je vis chez mon pote, Dereck, depuis plus de deux mois. Nous sommes dans un immeuble en plein centre de Paris. Une fois, je suis entré dans l’ascenseur et j’ai remarqué une femme au corps avec des formes somptueuses.
Notre voisine, la Milf de mes fantasmes
De temps en temps, j’allais sur le web pour mater des filles et des femmes sexy. Les formes de la femme de l’ascenseur étaient dignes de la section matures anal des vidéos pornos. Cette belle blonde avait les yeux marron et une forte poitrine. Elle s’est arrêtée au même étage que moi, quelle chance ! J’ai pu mater son cul tout le long du couloir. Et depuis ce jour, je ne souhaite que la recroiser à nouveau.
Des jours sont passés avant que j’aie pu la croiser à nouveau. Mais cette fois-ci, elle était avec son fils, un adolescent en puberté. Cela n’enlève en rien son charme, ça m’a encore plus excité bizarrement. Elle a mis une robe d’été fleurie avec des sandales. Elle avait une jolie pédicure qui m’a tout de suite fait penser à un bon footjob. L’idée m’a tout de suite fait bander comme pas possible.
Je lui ai fait un signe de la tête et les ai salués. Très souriante, elle m’a répondu et en a profité pour me regarder de haut en bas. J’étais intrigué, c’était un signe ? Il fallait qu’on pécho !
Des préliminaires ardents
Le soir, je ne pouvais plus attendre. J’en ai parlé à mon meilleur pote. Il m’a dit qu’elle s’appelait Sabrina et qu’elle est très ouverte d’esprit. Elle aimait les jeunes apparemment ! Quelle bonne nouvelle ! J’attendais impatiemment l’occasion de lui parler ! Je n’ai pas pu finir ma phrase que l’on a sonnée à la porte. C’était Sabrina. Elle voulait qu’on répare sa poignée de porte. J’ai tout de suite accepté.
Arrivée chez elle, elle a refermé la porte derrière moi ! Elle a dit qu’il n’y avait pas vraiment de poignée à remplacer. Juste qu’elle voulait se retrouver seule avec moi. Quel chanceux je suis ! Elle aussi belle que perverse ! Elle m’a poussé sur son canapé et s’est mise sur moi. J’étais un peu surpris. Mais je me suis laissé faire. Elle a retroussé sa robe pour pouvoir bien s’asseoir sur moi. Elle a commencé par m’embrasser doucement.
Elle me chuchote à l’oreille : « J’espère que je ne suis pas trop directe ! Tu me plais et j’ai envie de toi ! ». Ces mots m’ont fait littéralement bander. Elle a senti ma queue se durcir et elle affichait un sourire satisfait. Puis, elle disait que moi aussi apparemment j’avais envie d’elle. Carrément, oui ! Je voulais la baiser.
Elle continue de m’embrasser et j’ai laissé mes mains se balader sur ses cuisses. Elle a émis un petit gémissement. J’ai continué, mais en mettant mes mains sous sa robe. Sa peau était douce et lisse.
Ses fesses bien arrondies étaient dessinées par son tanga. Elle enfonçait sa langue dans ma gorge pour ensuite coller mon visage sur sa poitrine.
Elle a alors laissé tomber une manche de sa robe. J’ai fini par lui enlever sa robe.
Un plan à trois improvisé avec Dereck
Mon meilleur ami débarque à la porte de Sabrina. Il savait ce qu’il se passait. Sabrina l’a accueilli, à moitié à poil. Il n’était pas choqué. Je savais alors que ces deux-là, ils avaient déjà baisé avant !
Il m’a regardé et m’a demandé s’il pouvait nous rejoindre. J’ai répondu oui ! Mon fantasme de footjob s’est transformé en un plan à trois avec mon meilleur pote et une cougar.
Il s’est tout de suite mis à l’aise. Il l’a pris sur les hanches et l’a mise sur moi. Elle m’a tourné le dos. Je l’embrassais dans la nuque pendant que mon pote ouvrait sa braguette en lui.
Elle a demandé à mettre la table basse devant elle, et entre elle et mon pote. Elle s’est appuyée dessus puis a fait une fellation à mon pote. Elle m’offrait son cul bien dodu.
Sans hésiter, je l’ai lubrifié avec un peu de salive, et j’ai commencé par la sodomiser. C’était un peu sec, qu’elle s’est retirée. Je l’ai alors baisé par devant. Doucement, ma bite a dilaté sa chatte humide. Elle était chaude et mouillée. Je lui ai donné quelques coups de reins pour prendre un peu de plaisir. Sabrina n’arrivait plus à sucer mon pote correctement, elle a dû se caler avec un pied pour encaisser les coups.
J’ai alors lubrifié son petit trou avec sa mouille. J’avais introduit ma queue peu à peu pour ne pas lui faire mal. Elle gémissait de plaisir. J’ai continué mes va et viens en lui tenant bien le cul. Je lui ai tiré les cheveux pendant que je la baisais par-derrière, pour jouir en elle.
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