Étant chauffeur de bus, je vous laisse imaginer le monde que je croise chaque jour. Et pour être honnête, il y en a du beau mais aussi du pas terrible.

Je bosse toujours sur la même ligne et il m’arrive donc de voir les mêmes personnes certains jours de la semaine. Des petits vieux , des enfants, des ados mais aussi de belles jeunes femmes. Bref, il y a de tout.
Mais s’il y a bien une personne que je retiens, c’est cette fille à la chevelure noir corbeau et au corps bien foutu. Je la vois tous les jeudis à la fin de ma tournée. Et à chaque fois c’est ma dernière passagère.

Nous n’avons jamais vraiment pris le temps de discuter. Il faut dire qu’elle est collée à son téléphone et moi concentré sur la route à part quelques petits regards dans le rétro pour la mater.
L’autre soir, comme d’habitude, nous étions seuls dans le bus quand nous nous sommes retrouvés coincés dans un embouteillage.

J’ai pris mon courage à deux mains et aie entamé la discussion. J’ai enfin appris qu’elle s’appelait Sonia et qu’elle bossait dans une parfumerie.
Le feeling est rapidement bien passé entre nous. Nous avons discuté comme cela le temps que se termine cet embouteillage .

Je lui ai alors proposé d’aller boire un verre ensemble après mon taf histoire de ne pas s’arrêter en si bon chemin. Elle accepta de suite mon invitation.
Pour éviter de perdre du temps, je l’ai faite rester dans mon bus même si cela nous est interdit mais après tout c’était pour la bonne cause.

Arrivés au dépôt, il n’y avait plus personne… coup de chance pour moi !

Je pris alors mes affaires et entamai le pas pour descendre du bus lorsque Sonia me prit par le bras et m’embrassa. J’avais quelque fois imaginé cet instant mais pas vraiment de cette façon. J’étais très surpris par ce baiser mais en appréciais chaque seconde.

Elle m’attira sur un des fauteuils et me fit asseoir. Elle s’assit alors à califourchon sur moi et reprit son baiser langoureux.
Je sentis qu’entre son baiser et la présence de sa chatte et son cul sur ma bite, cette dernière ne mit pas longtemps à se durcir.

Sonia le remarqua rapidement et s’en amusa en prenant bien soin de se déhancher sensuellement sur ma queue.
Après quelques minutes à m’avoir bien chauffé, elle se releva puis se baissa afin de faire plus ample connaissance avec mon engin.

Elle me pompa divinement bien et ne laissa aucune partie intime de côté. Mes couilles , ma verge, mon gland tous ont goûté à ses lèvres et sa langue. C’était exquis mais il me tardait d’aller titiller son intimité.

Alors je la fit s’asseoir à ma place, j’ôtai sa petite jupe et sa culotte et plongeai ma tête dans son entrejambe. La petite coquine avait déjà sa chatte bien humide.

Je me délectai de son jus qui avait comme un goût sucré.

Une fois mon cunni bien exécuté, je la pénétrai aussi sec. Sonia était debout, face à la vitre en train de se faire pilonner comme une petite chienne.
Du temps que je la baisais, je maintenais fermement ses seins dans mes mains et m’amusais à pincer ses petits tétons durcis par l’excitation.

Mes coups de reins assez puissants mêlés à mes pincements la firent gémir comme une salope. Autant vous dire qu’elle n’a pas mit longtemps à jouir.
Étant encore plus que bien en forme, elle me suça à nouveau avec une telle fougue que je déchargeai tout mon foutre dans sa bouche. Elle avala tout cul sec sans même un haut-le-cœur.

Nous nous sommes à nouveau embrassés et avons quitté le bus. Comme il était convenu au départ, nous sommes allés boire un verre et avons fini la soirée chez moi.

Je vous laisse imaginer la nuit que nous avons passé …

 

Crédit photo : magazine-avantages.fr