Récit d'une femme soumise qui obéit à son Maitre BDSM

Récit d'une femme soumise qui obéit à son Maitre BDSM

Aujourd'hui je vais vous raconter ma dernière relation plan cul avec une soumise. J'ai rencontré cette coquine en ligne. Elle cherchait un Maitre BDSM pour la dompter. Je l'ai invité à la maison pour une sessions de domination hard.

J'entends le portail s'ouvrir et je sors sur le perron. Je te vois avancer vers moi en hésitant. Je m'approche et tu t'arrêtes, souris timidement. Mais je t'ignore superbement et vais juste fermer le portail à clé avant de revenir vers la maison. Juste avant de rentrer je me retourne vers toi et lâche :

« – Tu viens, petite soumise ? »

Tu hoches alors la tête et te dépêches de me suivre à l'intérieur. Je ferme la porte derrière toi puis te regarde de haut en bas. Enfin je dis :

« – Bon, on a pas grand chose à se raconter, je crois. Alors on va passer directement au moment où je te baise. »

Tu ne réponds pas et baisses juste humblement les yeux. Je sors ma queue. Elle est encore petite et molle. Je guette ta réaction. Enfin je dis :

« – Tu es déçue, hein ? Tu la trouves petite ? T'inquiète pas, une fois dans ton cul tu la trouveras bien assez grosse… »

Tu restes silencieuse. Puis tu tends la main et caresse mon membre. Tu rougis en le sentant grossir entre tes doigts. Je t'ordonne alors :

« – A poil. »

Tu obéis sagement et me révèles ton corps. Je te plaque contre la porte vitrée et tu as un petit cri de surprise. Tes seins sont écrasés sur mon torse. Mes lèvres effleurent les tiennes puis je dépose un baiser dans ton cou. Je te sens frémissante et me recule un peu pour masser ta poitrine et jouer avec tes tétons. Je te regarde droit dans les yeux et demande si tu es mouillée. Tu hoches la tête, les yeux déjà luisants de désir. Je te demande alors de me le prouver et tu plonges ton doigt dans ta chatte avant de me le tendre. Je le lèche sans te quitter des yeux et souris. Puis je te dis d'aller t'asseoir sur le fauteuil en cuir.

Je te regarde t'installer et viens ensuite me placer face à toi. Je me penche vers toi et pose mes doigts sur tes lèvres :

« – Normalement on commence par embrasser… »

Mon doigt glisse le long de ton cou puis se dirige vers tes seins et finit sa course sur ton mamelon durci :

« – Ensuite on tète… »

Je reprends mes mouvements et descends toujours plus bas. Tu te tends alors que mon index entre en toi :

« – Et on finit par lécher une bonne petite chatte… »

Je te doigte doucement et me penche sur ton visage. Tu as le souffle court et tes lèvres sont entrouvertes. Tes joues sont rosies par l'excitation. Tu attends mon baiser mais je me recule alors et dis :

« – Moi je vais faire ça à l'envers ! »

Puis je dis d'un ton sec :

« – En position. »

Tu poses alors tes jambes sur les accoudoirs et tu fixes ton sexe humide en le caressant doucement. Tu en écartes les pétales, m'invitant silencieusement à te prendre. Je m'agenouille alors entre tes cuisses. Tu ôtes tes mains et agrippes les accoudoirs. Mes doigts viennent remplacer les tiens, effleurant tes cuisses, caressant ton intimité, plongeant parfois en toi. Enfin je m'avance et goûte ta mouille. Tu gémis et te tends vers moi. Puis tu ondules lentement alors que ma langue virevolte. Je la plante en toi, savourant la sensation de ton vagin sur ma langue. Tu te caresses le sein en murmurant mon nom. Je saisis alors ton clitoris gonflé entre mes lèvres et aspire. Tu gémis de plus bel et commence à trembler. Je cesse de te lécher et demande :

« – Tu vas déjà jouir ? »

« – Ou… Oui, Maître… »

« – Je te préviens : si tu jouis je te plante direct ma queue dans ta chatte vierge, je te déchire ton hymen. »

« – N… Non… »

« – Alors retiens-toi. »

« – D'acc… D'accord. »

Je te vis avec satisfaction serrer les accoudoirs et te mordre la lèvre. Je recommençais alors à te lécher et tu me suppliais d'arrêter. Enfin ma langue quitta ta fleur, seuls mes doigts continuaient à te stimuler, te maintenant au bord de l'extase. Je suçais alors tes tétons l'un après l'autre, doucement, tendrement. Je les mordillais légèrement parfois. Tu poussais de petits cris et tes mouvements de hanches devinrent désordonnés. Je décidais alors de cesser de te masturber. Je me reculais légèrement et te regardais. Tu fermais les yeux, en sueur, haletante. Je me levais puis prenais appui sur l'accoudoir en approchant mon sexe de ton visage. Je souris en disant :

« – Il est mieux comme ça, n'est-ce pas ? »

« – Oui, Maître. Bien mieux. Il me fait envie. »

« – Ca tombe bien, tu vas le sucer. Il peut encore grossir… »

« – C'est vrai ? »

« – Suces et tu verras. »

« – Bien, Maître. »

Tu t'appliquas alors à lécher et aspirer ma queue. Tu la sentis envahir toujours plus ta bouche, jusqu'à t'étouffer. Je te forçais alors à l'avaler profondément. Tu te mis à baver et hoquetas. Puis tu avalas ta salive et mon gland en retenant ta respiration. Je te libérais enfin et me penchais à nouveau vers toi. Mes lèvres vinrent se coller aux tiennes. Tu me retournas mon baiser avec ferveur alors que nos langues s'emmêlaient. Je me collais à toi et tu te tendis alors que ma verge caressait ta chatte. Je collais mon front au tien et murmurais :

« – Tu as peur ? Tu crains que je fasse quoi ? Ça ? »

Je rentrais alors mon gland en toi. Je sentis que ton vagin était au bord de l'explosion. Je bougeais lentement en murmurant à ton oreille que tu étais une sale petite pute soumise. Puis je susurrais :

« – Tu te rends compte ? Si je me laisse aller je te déchire ta chatte… Umm, ça m'excite… Pas toi ? »

« – Non, non… Oh… Non… C'est bon… »

« – Oh oui, c'est bon… Pour l'instant. Mais tu auras mal si je pousse… »

« – Non, s'il vous plait, Maître… »

« – Umm… Alors il va falloir te retenir… »

« – Ou… Oui… Ah !!! »

Je venais de poser mon doigt sur ton clitoris. Tu me serrais alors très fort en retenant le plaisir qui t'envahissait. Tu répétais doucement : « Ne pas jouir, ne pas jouir… ». Ma main remonta alors sur ton sein et je te glissais à l'oreille :

« – Il y a une solution si tu n'en peux plus… »

« – La… Laquelle… Ah ! Laquelle, Maître ? »

« – Si je t'encule quand tu jouis je ne changerais pas de trou… »

Tu restais silencieuse. Enfin presque, tu ahanais et gémissais. Je continuais à bouger. Tes hanches aussi bougeaient malgré toi. Enfin je demandais :

« – Alors ? Que désires-tu ? »

« – Enculez-moi, Maître. Par pitié. »

« – Par pitié ? Tu le désires tant que ça ? »

« – Oui, oui ! »

« – Tu vas avoir mal aussi, pourtant. »

« – Oui, mais… »

« – Mais ? »

« – Je ne sais pas. Enculez-moi juste. Votre verge, je la veux dans mon cul. Faites-vous plaisir. »

« – Bon, comme tu veux. »

Je me lève alors et tu restes assise à reprendre ton souffle. Je te tire par le bras pour te forcer à te lever puis prend ta place dans le siège. Je dis alors :

« – Bien. Puisque c'est toi qui as envie, fais-le toi-même ! »

Tu hésitas une fraction de seconde mais mon regard te força à obéir. Tu me tournas le dos et vint poser ta rondelle sur ma hampe que je tenais dressée. Puis tu forças. Tu serrais les dents et une larme coula sur ta joue. Le gland entra. Tu poussais encore. Tu sentis mes mains se poser sur tes hanches. Tu crus un moment que j'allais t'empaler. Tu te sentais à la fois craintive de la douleur à venir et soulagée que je reprenne le contrôle. Mais je me contentais de glisser mes doigts sur ton pubis et de murmurer :

« – Voilà qui devrait t'aider… »

Je te doigtais alors. Tu sentis à nouveau la jouissance t'envahir alors que je pinçais ton clitoris gonflé. Tu la retins de toutes tes forces. Je murmurais encore :

« – Tu n'as plus à te retenir… Jouis, salope. »

Un grand cri t'échappa alors que tu tremblais. Tu laissas ma bite entrer un peu plus en toi sans même t'en rendre compte. J'ordonnais alors :

« – Force, c'est le moment. »

Tu obtempéras et te mis à hurler en pleurant alors que tu poussais toujours plus. Je caressais ta chatte et ton esprit s'embrouilla. Je t'attirais alors vers moi et caressais et léchais tout ton corps. Tu commença à bouger les hanches en suppliant :

« – Stop, stop. Je n'en peux plus. »

Je soupirais alors :

« – D'accord. Vas t'appuyer sur l'accoudoir du divan. »

Tu obéis avec lassitude : tu savais ce qui allait suivre et tu ne pouvais l'empêcher. Tu bombas ton cul. Je m'approchais et caressais ton fessier en disant :

« – Bien, je vais finir ce que tu as commencé. »

« – Oui, Maître, défoncez-moi le cul. »

Je souris et t'empalais violemment. Tu retins difficilement un cri de douleur alors que tout ton corps tremblait. Tes larmes coulaient à flots. Je ne te laissais pas de répit et te sodomisais avec fougue. Tu eus droit à un peu de repos lorsque je décidais de te faire goûter ton cul. Tu ne pus cependant reprendre ton souffle alors que je pilonnais le fond de ta gorge. Je ricanais alors :

« – Il a bon goût ton anus, hein ? Et puis il est bien dilaté maintenant… D'ailleurs j'y retourne ! »

Je ressortais mon sexe et tu eus le temps de me supplier de ne pas te prendre si fort. Mais tu tendis malgré tout tes fesses lorsque je te l'ordonnais et te contentas de pleurer en me suppliant alors que je te bourrais toujours plus fort…

Enfin je sentis la jouissance venir. Je sortis alors de ton cul et ramassais tes lunettes qui étaient tombés au sol. Je te les posais sur le nez et t'ordonnais de t'agenouiller. Tu t'exécutas en grimaçant de douleur à cause de la position dans laquelle tu étais. Je me branlais alors et giclais sur les verres de tes lunettes. Ma semence coula le long de ton nez. Tu restas immobile, attendant sagement que je finisse. Lorsque les dernières gouttes furent tombées je t'ordonnais de nettoyer ton visage ainsi que tes lunettes. Tu obéis à nouveau, léchant consciencieusement les verres maculés. Puis tu les remis sur ton nez. Je restais un long moment à te regarder, poupée docile prête à tout subir. Je te fis alors signe de retourner sur le fauteuil. Tu écartas les cuisses sans même que j'ai à te le demander. Je vis que tu étais déjà bien humide. Je t'ordonnais alors de te toucher. Je te regardais t'agiter et gémir en t'offrant en spectacle. Enfin je sentis que tu allais jouir. Je m'avançais et dis :

« – Bien. Cesse de te toucher, je vais te finir. Tu as le droit de jouir. »

Je me collais à nouveau à toi et t'embrassais en caressant ta poitrine puis ta chatte. Des gémissements étouffés par mes lèvres sortir de ta bouche. Puis te mis à trembler en t'agrippant à moi. Je glissais alors à ton oreille en soulevant une mèche de cheveux collante de sueur :

« – Je t'avais prévenue… »

Puis j'empalais ta chatte d'un coup sec. Tu hurlas et pleuras de nouveau. Je me mis à bouger. Tu demandas en ahanant :

« – Mais… Mais… J'avais le droit ! »

« – De jouir, oui. Je n'ai jamais dis que te dépuceler serait une punition. Juste une conséquence. Et tu as joui… »

« – Sal… Salaud ! »

Tu tentas alors de me repousser mais je te giflais puis t'étranglais. Ton visage devint rouge alors que tes cuisses prenaient la même teinte…

Enfin je relâchais mon étreinte et tu pus respirer. Je demandais alors en continuant à te limer doucement :

« – Tu as toujours mal ? »

« – Oui, Maître. Vous l'enfoncez trop profond… »

« – Bon, tant pis. Tu me masturberas à la place. »

Tu fus un peu surprise de ma réaction et bafouillas :

« – Euh, bien-sûr, Maître, avec plaisir. »

Puis je me retirais et partis à la cuisine. Quand je revins je te jetais un rouleau d'essuie-tout et dis :

« – Lave-toi la chatte. »

Tu obéis. Puis j'ajoutais :

« – A quatre pattes. Tu vas nettoyer le siège maintenant. »

« – Oui, Maître… Euh… »

« – Quoi ? »

« – Vous allez m'enculer ? »

Je soupirais :

« – Ce n'est pas ton problème. »

« – Oui, Maître. Pardon, Maître. »

Tu commenças alors à essuyer le siège et mes mains ne tardèrent pas à se poser sur tes reins. Tu bombas le cul sans mot dire. Ma verge plongea en toi. Mais pas dans ton anus. Je déchirais à nouveau profondément ta chatte encore ensanglantée. Tu gémis :

« – Non ! Je devais vous masturber ! »

« – C'est ce que je fais. Je me masturbe avec ton vagin. »

Tu gémis de nouveau mais te résignas.

Je te pris longuement, en silence. Puis je m'allongeais sur toi. Je fermais les yeux et savourais tes plaintes et tes suppliques. Elles se firent plus rares et tu commenças même à couiner de plaisir. Je sentais aussi que ta chatte se faisait plus liquide, plus accueillante. Mais il était un peu tard : j'allais bientôt jouir. Je soupirais et murmurais :

« – Tu sens comme ma queue vibre en toi ? »

« – Oui… Oh oui, Maître. »

« – Je vais gicler très bientôt. »

Un silence. Je continuais :

« – Ce sera la première fois que je giclerais en toi. »

Une pause :

« – Je vais le faire profondément dans ta chatte. »

J'attendis à nouveau. Tu gémissais doucement. Enfin je sentis que le moment venait et dis simplement :

« – Voilà pour toi. »

Et je jutais. Tu murmuras alors :

« – Merci, Maître, merci. C'est chaud. C'est doux… Merci. »

« – Mais de rien, ma pute, de rien. »

Puis je ressortis de ton corps et te regardais. Tu continuais à chuchoter des remerciements. Tu avais les yeux fermés, une larme coula sur ta joue. Je dis nonchalamment :

« – Je t'ai bien baisée. Je suis content. »

Tu ne répondis pas mais souris sans ouvrir les yeux. Ta respiration redevenait normale. Je dis alors :

« – Viens. On va dans la chambre. Je vais t'attacher sur le lit et te baiser encore. »

Tu ouvris enfin les yeux et dis, étonnée :

« – Dans la chambre ? Et la cave ? Et le bain ? »

Ce fut mon tour de sourire. Puis j'éclatais de rire :

« – Non mais quelle salope ! »

Puis j'ajoutais :

« – Ne t'inquiète pas. Tu es loin de m'avoir épuisé. Et puis on a du temps. Tu visiteras tout ça. Mais pour l'instant… Au lit ! »

Tu te levais alors joyeusement et pris la main que je te tendais pour me suivre. Tu t'étais vite remise de tes émotions… Ça promettait une nuit agitée !


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